«
Finalement tu as claqué la portière / Et déplié
la carte routière… » Carnets de route,
nerveusement griffonnés, scandés, tendus à
l’extrême. Paradoxalement d’une écriture
lisse faite de pleins et de déliés, d’entrelacs
routiers et de nationales rectilignes, de kilomètres
avalés, de miles bus, de moteurs vrombissants et d’éléments
déchaînés. On the road again… Michel
Kemper (lire
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